Colloque sur l’enseignement de la philosophie dans les Cégeps du Québec, les 5 et 6 juin 2023 au Cégep Limoilou, organisé par le CEEP (Comité des Enseignants et Enseignantes de Philosophie) dans le cadre du Congrès de la SPQ (Société de Philosophie du Québec) : ce colloque mettra à contribution des regards croisés sur la question qui suit : « POURQUOI LES GRECS? »
Les modalités pratiques pour l’inscription et le déroulement sont indiquées plus bas – en dessous de la programmation.
PROGRAMMATION (5 et 6 juin 2023)
Lundi 5 juin 2023
8h30 Accueil du Congrès de la SPQ
9h Mot d’accueil des organisateurs du Congrès
9h30 à 10h Mot d’ouverture du colloque : « Pourquoi les Grecs? »
MARC-ANDRÉ VAUDREUIL (CÉGEP GÉRALD-GODIN)
10h à 11h Peut-on tout enseigner au sujet des philosophies anciennes?
CATHERINE GUINDON (CÉGEP DE SAINT-LAURENT)
La philosophie est souvent présentée comme une discipline prétendant à l’universalité et portant un regard général et surplombant les choses. Pourtant, nombreux sont les philosophes, anciens notamment, à s’être fait les apôtres de l’exclusion et de la domination de certains groupes sociaux. Certes, nombre des questions posées par les philosophes de l’Antiquité sont éternelles, mais dans les domaines politiques et éthiques, les réponses qu’ils ont proposées témoignent souvent de préjugés et d’ignorance. Oui, il faut enseigner la philosophie ancienne au collégial, mais peut-on tout enseigner au sujet des théories philosophiques de l’Antiquité? A-t-on un devoir de présenter ces théories de façon objective et neutre sur le plan des valeurs? À l’inverse, nos cours doivent-ils être le lieu d’un bricolage soutenant une vision édulcorée des idées gréco-romaines, vision qui ne serait pas représentative de toute l’histoire? La position que je défendrai se situe à mi-chemin entre la neutralité axiologique, qui est un mirage en enseignement selon moi, et le rapiéçage éditorial, qui, à mon avis, n’a pas sa place en contexte pédagogique.
Aristote, d’hier à aujourd’hui
DOMINIQUE LEPAGE (CÉGEP GARNEAU)
L’héritage intellectuel d’Aristote n’a nul besoin de présentation, et demeure si présent dans les débats contemporains qu’y initier les jeunes cégépiens consiste, assez directement, à leur fournir des clés de compréhension du monde actuel, comme d’ailleurs d’eux-mêmes. Malgré tout, l’enseignement d’Aristote implique des difficultés, en raison notamment de certaines positions aujourd’hui controversées, mais aussi en raison de l’aridité des textes que nous conservons de lui. Avec ces considérations en tête, ma présentation abordera trois questions. D’abord, qu’enseigner de l’œuvre d’Aristote? Je montrerai ainsi la pertinence pédagogique particulière que me semblent avoir certains textes d’Aristote pour le cours Philosophie et rationalité. Ensuite, pourquoi enseigner Aristote? Je traiterai alors de l’héritage de ces idées dans les débats contemporains, de manière à montrer leur actualité comme de leur potentiel critique actuel. Enfin, comment enseigner Aristote? Je me pencherai ici principalement sur la question de savoir comment aborder cet auteur eu égard aux parties contestables de son œuvre, de manière à guider les étudiants dans l’apprentissage du dialogue critique avec les auteurs du passé.
11h à 12h Pourquoi pas Protagoras?
JEAN PROVENÇAL (CÉGEP DE LIMOILOU)
Dans cette communication, je vais vous partager l’usage que je fais d’un auteur grec moins convenu, le sophiste Protagoras. J’expliquerai pourquoi il peut être intéressant d’utiliser ce sophiste plutôt qu’un philosophe comme Platon dans le cadre du cours Philosophie et rationalité. Puis, à partir des fragments principaux de son œuvre et de l’éclairage nouveau qu’offre une relecture constructiviste de ceux-ci, je vous présenterai un système de pensée politique que j’ai constitué pour adapter la pensée de Protagoras à l’enseignement collégial. Le résultat est une sorte de philosophie de la démocratie. Je terminerai en évoquant les avantages et les limites d’une telle philosophie.
« En quoi ce que vous me demandez est-il utile à savoir ? »
RICHARD VAILLANCOURT (COLLÈGE BOIS-DE-BOULOGNE)
Comme le croit Rousseau dans L’Émile, nos étudiantes et étudiants se demandent en quoi il est utile de lire les philosophes grecs. On peut leur répondre comme John Dewey, « [qu’] il est sage d’utiliser les produits de l’histoire du passé dans la mesure où ils peuvent être utiles à l’avenir ». Mais en quoi les Grecs seraient-ils utiles à l’avenir? Peut-on arriver à cette fin par d’autres moyens moins « poussiéreux » ? On a souvent présenté les débats internes à l’enseignement de la philosophie comme l’opposition entre deux visions. D’une part, une transmission humaniste de savoir centrée sur l’histoire livresque de la philosophie et d’autre part un enseignement formaliste de compétences intellectuelles transversales utiles. Est-il possible de réconcilier ces deux visions et d’inclure l’acquisition de certaines vertus morales utiles à la vie démocratique? En ce sens, il ne peut être question d’inféoder l’enseignement de la philosophie grecque à ce que l’on entend généralement comme étant des considérations utilitaires, les besoins de l’État ou de l’entreprise par exemple, mais à l’utilité suprême : vivre heureux avec soi-même et les autres, ce qui implique des vertus épistémiques admirablement incarnées par Socrate dans certains dialogues de Platon.
12h30 à 14h Dîner
14h à 15h00 Du soleil des Grecs au soleil de partout
FRÉDÉRIK DUFOUR (COLLÈGE BOIS-DE-BOULOGNE)
« L’enseignement est un deuxième soleil pour celui qui le reçoit », a écrit Héraclite. L’héritage de la philosophie grecque constitue à mes yeux l’accès le plus direct et le plus efficace à tout ce qui fait l’originalité et la force de la discipline philosophique présentée dans son plus simple appareil. Sa transmission implique aussi l’accès à ce qui justifie la philosophie au regard des inquiétudes les plus profondes de la pensée, qu’elles soient épistémiques, éthiques ou politiques. En allant de la pluralité des grandes intuitions ontologiques des présocratiques, aux synthèses monumentales qui s’opèrent dans les œuvres de Platon et d’Aristote, en passant par les défis lancés par les sophistes et les exigences éthiques de Socrate, on peut rapidement apercevoir l’importance, la rigueur et la générosité des sources grecques de la pensée occidentale. Principalement, depuis Platon, c’est dans le nouage logique des problématiques épistémiques, éthiques et esthétiques que s’ouvre l’horizon philosophique d’un désir politique qui veillerait à l’avènement de la justice. Prétendre à ce désir sans en mesurer les réelles difficultés, dont nous avertissent pourtant très clairement les philosophes grecs, c’est méconnaître les vrais écueils de l’injustice et s’exposer à la violence des histoires qui s’ensuivent. L’ouverture à la transcendance du vrai, du bien et du beau dans le travail philosophique demeure à mes yeux, loin de tout dogmatisme réducteur, le véritable enseignement que j’ai reçu des Grecs. Présenter cette ouverture, la promouvoir, la défendre et la développer indépendamment de l’air du temps, voilà ce que je pose au cœur de ma responsabilité d’enseignant.
Penser la justice : de la tragédie à la philosophie
RAPHAËL ARTEAU MCNEIL (CÉGEP GARNEAU)
Pourquoi les Grecs? La réponse à cette question devra inclure : Pour la façon dont ils ont pensé la justice. Mais cette réponse appelle de nouvelles questions : qui se cache derrière ce « ils » et peut-on résumer autant d’idées à une seule pensée? Vaste programme. Dans cette présentation, je tenterai d’explorer, à grandes enjambées, ce que la fréquentation des œuvres grecques peut nous enseigner sur la justice.
15h à 15h30 Enseigner Platon : le proche et le lointain
ARTHUR PAQUET (CÉGEP AHUNTSIC) ET THIERRY CÔTÉ (CÉGEP GÉRALD-GODIN)
Afin de cerner les contours d’une question non réglée d’avance, nous écarterons d’abord plusieurs justifications de l’enseignement des Grecs en 101 qui nous paraissent insuffisantes : l’importance culturelle de la philosophie grecque pour la pensée occidentale, le supposé « miracle grec » ou encore, l’adaptation particulière du corpus grec aux finalités pédagogiques définies par le Ministère (notamment celle d’explorer la coupure entre pensée religieuse et pensée rationnelle). Le cours Philosophie et rationalité nous paraît devoir être, indissociablement, 1) un éveil à l’abstraction et à l’universel 2) un éveil aux « affaires humaines ». Tant par ses contenus (qui articulent la plus haute
abstraction au réel le plus immédiat) que par son statut historique (des pensées lointaines, elle nous est la plus proche), la pensée des Grecs paraît indiquée pour répondre à ce double objectif : cognitif, d’une part, civique et éthique, de l’autre. Aussi défendrons-nous la centralité du corpus platonicien en 101 à titre de rempart contre une double dérive : proposer une image de la philosophie séparée de la vie ; assujettir le cours de philosophie aux exigences de l’immédiateté.
15h30 à 16h30 Sortir Platon de son ombre
PHILIPPA DOTT (COLLÈGE DE MAISONNEUVE)
Platon ne subit l’ombre de personne, ni celle des sophistes, ni celles de ceux qu’on surnomme « les présocratiques » et encore moins celle de son maître qu’il a lui-même immortalisé. La preuve : qui sait qu’après la condamnation de Socrate, Antisthène était vraisemblablement le plus connu de ses disciples ? Qu’entre -394 et -370 av. J.-C., plus de trois cents unités dialogiques — ce qu’on appelait les logoi sôkratikoi — ont été recensées ? Qu’en -393 Isocrate a fondé une école avant la fondation de l’Académie autour de -387/-385 ? Platon a éclipsé nombre de ses contemporains, à tel point que l’on oublie parfois qu’il est, d’une certaine manière, victime de l’ombre de sa réception dans l’histoire de la pensée. Pour « sortir Platon de son ombre », il faudra (1) éclairer les Dialogues par leur intertextualité (2) rappeler le travail de martelage assené à la langue grecque par « Aristoclès » et (3) distinguer la forme dialogique particulière de ses œuvres.
Le mouvement circulaire dans le livre I de la République
MATHIEU CHALIFOUR-OUELLET (CÉGEP GÉRALD-GODIN)
« la mort elle ne pèse que l’ombre de l’ombre »
Gaston Miron, L’homme rapaillé
Si les philosophes grecs ont su produire la fascination sur tant d’âges, c’est bien sûr à cause de la portée de leurs prétentions. C’est un lieu commun d’affirmer que c’est plus pour l’étendue des questions posées que des réponses qu’ils ont proposées qu’ils méritent notre estime. On dira qu’ils ont posé des problèmes neufs, élaboré des méthodes d’une surprenante rigueur pour y faire face. On ajoutera que ces problèmes avaient une portée universelle et que leur méthode était réflexive. Ainsi, conclut-on, ils ont su jeter les bases d’une discipline qui, gagnant évidemment en maturité, a su assurer son indépendance. C’est dans ce contexte que se pose la question de la valeur de l’étude des philosophes de la Grèce, lieu natal de la philosophie. Dans quelle mesure un retour aux Grecs est nécessaire pour initier à la philosophie? Dans cette conférence, nous analyserons les mouvements des différents personnages du livre 1 de la République afin de questionner l’avis de Platon à cet égard. Évidemment, il sera question de la remontée vers Athènes entreprise par Socrate accompagné de Glaucon. Mais qu’en est-il du vieux Céphale et de son fils, Polémarque? Que doit-on penser des propositions du redoutable Thrasymaque? Dans quel lieu et au sein de quelles forces ont lieu les discussions? En proposant une lecture du livre 1, nous chercherons à savoir si les Grecs méritent le détour.
16h30 à 17h Comment aborder les réalités trans dans nos classes?
FREYA DOGGER (CÉGEP DE VICTORIAVILLE)
Les réalités transgenres et non-binaires sont de plus en plus visibles autour de nous, tant dans nos classes qu’à l’extérieur. Les étudiantes et les étudiants sont avides de les comprendre, elles qui sont si mal discutées dans la sphère publique. Freya Dogger, femme trans et enseignante au Cégep de Victoriaville, se propose de nous guider à travers le « quoi », le « comment » et le « pourquoi » de la transidentité, la philosophie appropriée pour comprendre et discuter ces enjeux, avant de terminer sur la façon dont elle-même aborde cette question dans ses classes, afin de proposer des exemples.
Mardi 6 juin 2023
9h-10h Les Grecs, altérité et dialectique
JEAN-PHILIPPE A. BEAUDIN (CÉGEP SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU)
Alors qu’une bonne part des cégépiennes et des cégépiens vivent, du moins virtuellement, dans leurs chambres d’écho et qu’ils se considèrent comme en rupture avec les générations passées, ou, à tout le moins, dans une continuité ténue avec le passé, je suggère que le contact avec la pensée grecque peut être pensé comme un premier réel contact avec une pensée différente, avec une altérité, et à la fois, avec une pensée familière. Altérité parce qu’elle est émise par des hommes vivant dans une société esclavagiste, sexiste et, jusqu’à un certain point, plus violente que nos sociétés contemporaines. Pensée familière car ces auteurs ont sensiblement les mêmes préoccupations qu’actuellement : l’amitié, l’organisation de la société, la bonne vie. En somme, je propose de voir le contact avec les Anciens comme un exercice dialectique allant de l’étranger au familier.
S’éduquer à travers l’autre : l’éducation humaniste chez Hegel et Madame de Staël
EMMANUEL CHAPUT (CÉGEP ANDRÉ-LAURENDEAU)
La question « Pourquoi les Grecs ? » ne prend véritablement tout son sens que dans un contexte historique où l’héritage classique perd justement de son évidence. Conjointement à l’avènement du monde moderne, une foule de nouvelles conceptions de l’éducation émergent et remettent en question la tradition fondée sur la connaissance des Grecs. L’éducation doit dorénavant être pratique, orientée vers les sciences modernes, susceptible de répondre aux besoins d’une société en mouvement; elle doit s’adapter au développement naturel de l’enfant, etc. Le débat n’est pas nouveau. Il n’en est pas moins toujours d’actualité. Ce que je propose est de faire un bref détour historique par le début du XIXe siècle pour analyser les positions de Hegel, Niethammer et Germaine de Staël. Dans les trois cas, nous avons affaire à la promotion d’une éducation humaniste tournée vers l’apprentissage de la tradition gréco-latine. Cependant, il ne s’agit pas pour autant de faire l’apologie du classicisme. Tous trois s’inscrivent dans la mouvance de la « légitimation de la modernité ». En fait, ce que proposent nos trois auteurs, c’est ce que Bernard Bourgeois a nommé une « pédagogie de la rupture ». Pour développer ses capacités réflexives, sa conscience de soi et la pensée critique, l’élève doit être capable de se considérer soi-même comme objet d’étude, mais cela implique justement la nécessité de s’extraire d’abord de ce qui nous est familier et bien connu. La connaissance de soi exige une sortie de soi, une aliénation. C’est le rôle en un sens que l’on attribue à la découverte du monde grec. La découverte d’un monde étranger, par un jeu de miroir, nous pousse à considérer avec une certaine distance et donc à questionner nos propres valeurs.
10h-11h Faut-il (une fois pour toutes) tuer Parménide?
JEAN-FRANÇOIS TREMBLAY (CÉGEP DE LIMOILOU)
Comment mieux justifier l’étude des Grecs qu’en faisant retour à Parménide, « le Père » (suivant Platon et Aristote). Mais le « Père » de quoi ? Avec Arpad Szabo, philologue et historien des mathématiques, nous attribuerons à Parménide la paternité d’un nouveau dispositif rationnel : la démonstration indirecte. Dispositif par excellence de la nouvelle mathématique spéculative grecque, la démonstration indirecte offrira le moyen de régler nombre d’impasses empiriques, notamment le fameux problème de la diagonale (incommensurabilité). Pour notre propos, nous partirons de ce dernier problème pour revenir aux fondements parménidiens du dispositif rationnel qui le dénoue. Nous pourrons ensuite offrir un ou deux exemples mathématiques de l’efficace de ce dispositif, puis réaffirmer sa pertinence dans notre étude et notre enseignement de la philosophie en relevant quelques-unes de ses nombreuses et déterminantes occurrences dans le corpus philosophique ancien et moderne. Bref, avant que « notre » époque (ouverte et diversifiée) ne conduise Parménide à la potence, nous espérons faire voir que l’accusé mérite bien plutôt d’être son juge.
Rouvrir l’horizon d’un avenir par la déconstruction de la philosophie grecque
FRANCIS BOULANGER-CÔTÉ (CÉGEP DE BEAUCE-APPALACHES)
Ce n’est pas parce que la philosophie grecque est derrière nous qu’il faut l’étudier, mais parce qu’elle est devant nous, en un sens double: d’abord parce que les objets de notre quotidien résultent d’une production industrielle relevant d’une science élaborée sur l’hypothèse onto-logique de la philosophie grecque ; mais aussi parce qu’elle a déployé l’horizon vers lequel avance notre époque depuis l’impulsion donnée au projet de la philosophie par Platon: celui d’une rationalisation de la réalité et d’une réalisation de la rationalité – projet éthique d’émancipation de l’humanité par l’éradication du mal, compris comme ignorance du Bien. La philosophie antique n’est pas un vestige archéologique, mais le principe qui commande (arkhè) les choix (logos) de notre époque, où s’accomplit le projet de la philosophie. Or, cet accomplissement n’a pas seulement mené l’humanité à son émancipation, mais à sa potentielle annihilation. Si l’enseignement de la philosophie doit être réformé, ce n’est donc pas par l’abandon de la philosophie grecque, mais par la mise au jour de l’actualité problématique du projet de la philosophie et l’urgence de le renouveler.
11h-12h Les devis de cours en philosophie au collégial, trente ans plus tard (1993-2023)
Discussion animée par Marc-André Vaudreuil
12h à 14h Dîner
14h-17h Assemblée générale du Comité des enseignantes et enseignants en philosophie.
MODALITÉS PRATIQUES / INSCRIPTION :
Organisé par le Comité des enseignantes et enseignants en philosophie (CEEP).
Responsables de l’événement :
Richard Vaillancourt, Collège Bois-de-Boulogne
Marc-André Vaudreuil, Cégep Gérald-Godin
Inscription au colloque
Pour participer au colloque, il faut s’inscrire au Congrès. Le tarif (cliquez ici) est de 50$ pour l’inscription et de 60$ pour celles et ceux qui voudraient adhérer à la SPQ.
Pour vous inscrire, veuillez-vous rendre sur le site du congrès (cliquez ici) et créez-vous un compte (voir l’onglet en haut de la page à droite). Cliquez ensuite sur l’onglet « Inscription ». À la fin du formulaire, dans la section « informations complémentaires », on vous demandera combien de jours vous participerez au Congrès. Nous vous demandons d’indiquer à cet endroit que vous participerez au colloque du CEEP. Cela nous permettra de savoir combien de participantes et de participants nous attendons pour l’événement.
Hébergement et transport
Vous trouverez aussi sur le site de la SPQ des suggestions d’hôtels (cliquez ici) pour l’hébergement.
Par ailleurs, Richard Vaillancourt a réservé un bloc de vingt chambres à l’hôtel Delta. Si vous souhaitez réserver l’une d’entre elles, veuillez lui écrire : richard.vaillancourt@bdeb.qc.ca
En ce qui concerne le transport, nous prévoyons mettre en place un réseau de covoiturage. Nous diffuserons au mois de mai un document en libre accès pour mettre en contact les collègues qui proviennent d’une même région.
Au plaisir de vous y voir.