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Patrice Létourneau est enseignant en philosophie au Cégep de Trois-Rivières depuis 2005. Outre son enseignement, il a aussi été en charge de la coordination du Département de Philosophie pendant 8 ans, de juin 2009 à juin 2017. Il est par ailleurs l'auteur d'un essai sur la création, le sens et l'interprétation (Éditions Nota bene, 2005) ainsi que d'autres publications avec des éditeurs reconnus. Il collabore à PhiloTR depuis 2005.

Dans une lettre de Patrick Letendre publiée le 27 mai 2013 dans le quotidien Le Devoir, allant jusqu’à parler de renaissance du latin, il est fait mention du cours de latin que notre département offrira avec des crédits dès l’automne prochain (A-2013).  On peut lire ce texte en ligne, .

 

Il faut dire que le latin fait beaucoup d’échos, ces temps-ci.

 

Le 2 mai dernier, nous annoncions avec plaisir sur PhiloTR que le Cégep de Trois-Rivières, via son Département de philosophie, sera le premier cégep à offrir un cours crédité d’initiation au latin – un cours qui sera dispensé dès l’automne 2013 à une trentaine d’étudiants par notre collègue et ami Guy Béliveau, tout en tirant profit de toutes les potentialités qu’offrent les TICE et les perspectives de l’active learning (des potentialités que Guy Béliveau a examinées de près lors de son analyse des recherches sur le sujet).

 

Le samedi suivant, le 11 mai 2013, Le Devoir publiait un «Plaidoyer en faveur de l’enseignement des langues anciennes» signé par Thierry Petit (professeur titulaire à l’Université Laval), en plus d’un article de Pauline Gravel pour signaler l’importance et l’actualité du latin.  Sujet qui est réapparu dans le même quotidien le 17 mai, dans l’article de Christian Rioux intitulé «Vive le latin !», soit un peu avant la lettre de Patrick Letendre qui nous mentionne et qui répond à certaines incomplétudes de l’article de Christian Rioux.  Et entre temps, le 24 mai au matin à l’émission «Médium large» de la radio de Radio-Canada on consacrait une partie de l’émission sur la mode et l’attrait du latin pour les «hipsters».

 

Décidément, le latin est d’actualité.

Et son histoire est à suivre !